Civilization VI

Bien le bonjour à toi, Dragounet confiné!

 

Depuis le mois de janvier, j’ai découvert avec plaisir un jeu vidéo: Civilization VI sur play-station (Civ’ pour les intimes). 

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Avant toute chose, il faut que tu saches que je ne suis pas une gameuse. Mon expérience des jeux vidéo se concentre principalement sur Zoo Tycoon  sur PC et un peu de Mario Kart. Tout le reste de ma culture geek vient des heures que j’ai passé à regarder les autres jouer. Tu l’auras compris, je ne vais donc pas faire un article de spécialiste.

Je disais donc, au mois de janvier j’ai découvert Civilization, et évidemment, depuis le début du confinement… j’y passe beaucoup de temps.

Si tu ne connais pas le principe de ce jeu c’est un peu l’enfant illégitime du Risk et des Sims. Il s’agit de bâtir une civilisation, de ses débuts, jusqu’à nos jours. 

On commence la partie avec un colon (chargé de bâtir une ville) et un guerrier. Il y a sur la carte différentes ressources (blé, chevaux, roche, poisson…) qu’il faut exploiter pour se gagner de l’argent, de la foi et de la culture. Au fil de la partie il est possible de former de nouvelles unités et de construire d’autres villes pour se développer. 

Le but étant d’obtenir une victoire scientifique, religieuse, militaire ou culturelle, il faut choisir avec soin différentes sciences et doctrines pour avancer dans le jeu. Elle permettent de découvrir de nouvelles ressources (comme le fer, le charbon, le salpètre puis le pétrole et l’uranium). Plus la partie avance, plus on rencontre d’autre civilisations avec lesquels il faut cohabiter… ou pas. 

Dans l’extension Gathering Storm il y a beaucoup de subtilités dues aux catastrophes naturelles qui peuvent survenir et à la loyauté de vos villes. Cela rend le jeu un peu plus complexe et permet de l’aborder de manière différente. Quand je jouais sans l’extension j’étais très guerrière: à la moindre civilisation qui contrariait mes plans, je déclarais la guerre et envahissais ses villes. Avec Gathering Storm il faut être un peu plus diplomate et donc plus réfléchi. 

J’aime ce jeu pour plein de raisons mais la première c’est qu’il est simple à comprendre. On peut très bien s’amuser sans connaître toutes les subtilités stratégiques et c’est très appréciable car je n’aime pas les jeux où il faut recommencer dix fois la même étapes pour passer à la suivante. On peut y jouer à plusieurs, en ligne ou en direct, en équipe ou chacun pour soi. C’est un jeu qui n’est pas très palpitant (sauf si l’on fait la guerre) mais qui est terriblement chronophage!

Je m’amuse beaucoup des incohérences que le jeu crée par rapport à la réalité. On peut être la civilisation égyptienne, vivre dans la toundra et construire Broadway. Ce n’est donc pas un jeu pour réviser l’histoire-géo!

Et toi, quelle activité as-tu découvert pendant le confinement?

Camille

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